Votre bébé a un sommeil agité et ne se nourrit pas bien ?
Y a-t-il eu des complications lors de l’accouchement ? (exemples : travail prolongé, utilisation de forceps ou césarienne)
Votre bébé présente-t-il des signes de restriction des mouvements dans le cou ?
Préfère-t-il anormalement tourner le cou d’un côté plutôt que de l’autre ?
Si vous avez répondu « OUI » à l’une des questions ci-dessus, il est possible que votre bébé souffre du syndrome KISS.
Nous aimons nos enfants, mais êtes-vous conscient du « tueur silencieux » qui peut affecter votre enfant depuis sa naissance ? S’ils ne sont pas traités, les effets néfastes du syndrome du baiser peuvent affecter les enfants de la naissance à l’âge adulte.
Qu’est-ce que le syndrome KISS ?
Une étude publiée a identifié un dysfonctionnement spécifique des hautes cervicales (haut du cou) chez les nouveau-nés que seuls les chiropracteurs sont habilités à examiner et à corriger. Il s’agit d’un déséquilibre cinématique dû à une contrainte suboccipitale, également connu sous le nom de syndrome KISS. Il a été constaté que de nombreux signes et symptômes couramment observés chez les nouveau-nés étaient une cause directe de ce syndrome.
Dans l’étude réalisée par Biedermann (1992), les symptômes les plus courants du syndrome KISS étaient les suivants
– torticolis (tête inclinée sur le côté),
– un tonus musculaire asymétrique,
– scoliose cervicale (courbure latérale de la colonne vertébrale),
– un retard de développement des articulations de la hanche,
– opisthotonos (hyperextension sévère/retour du cou)
– les difformités des pieds,
– sommeil agité et,
– les mauvaises habitudes alimentaires
Il existe deux types de syndromes KISS, le type 1 et le type 2.
Quelles sont les causes du syndrome Kiss ?
La souche sous-occipitale (subluxation des hautes cervicales) ou le syndrome KISS est causé par :
– une malposition intra-utérine du fœtus
– utilisation de forceps, de césarienne ou d’extraction par le vide
– le travail prolongé
– plusieurs fœtus (jumeaux, triplés)
Augmentation anormale des taux de césarienne au fil du temps. La plupart des césariennes pratiquées aujourd’hui s’avèrent sans intérêt clinique. La césarienne est aujourd’hui considérée comme une forme alternative d’accouchement, et non comme une chirurgie abdominale majeure.
Lorsqu’il a été mesuré pour la première fois, le taux de naissance par césarienne était de 4,5 % (1965), mais en 2019, le taux de naissance par césarienne était de 32,7 %, bien au-dessus de l’objectif « médicalement nécessaire » de 10 à 15 % fixé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Cela signifie qu’en dépit de ses conséquences (pour la mère et l’enfant), près d’un tiers de chaque nouveau-né est mis au monde par césarienne, ce qui augmente considérablement les risques et la prévalence des subluxations des hautes cervicales chez les enfants.
Le syndrome KISS est décrit comme un « tueur silencieux » car il est souvent négligé, mal diagnostiqué et négligé par de nombreux médecins. Biedermann affirme que :
« l’importance pathogène de la posture asymétrique chez les nourrissons et les jeunes enfants est souvent ignorée, la maladie étant soit écartée comme étant sans importance, soit pas reconnue du tout ».
Il s’agit d’une préoccupation majeure pour deux raisons :
1. Les signes et les symptômes du syndrome KISS sont très courants chez les nouveau-nés, mais le diagnostic des subluxations des hautes cervicales est largement écarté. Ce manque de sensibilisation entraîne l’administration d’un ou plusieurs traitements non pertinents qui ne s’attaquent pas au problème sous-jacent.
2. Si la subluxation des hautes cervicales n’est pas diagnostiquée et traitée pendant une longue période, elle devient une maladie chronique qui peut causer plus de tort à l’enfant à mesure qu’il grandit.
Que pouvez-vous et devriez-vous faire au sujet du syndrome KISS ?
L’identification de la souche sous-occipitale (subluxations des hautes cervicales) nécessite l’expertise d’un médecin qui maîtrise la palpation et l’analyse de la colonne vertébrale.
Les chiropraticiens utilisent leurs mains pour traiter les problèmes de la colonne vertébrale en toute sécurité, sans avoir recours à des médicaments ou à la chirurgie. Il n’est jamais trop tôt ni trop tard pour les soins chiropratiques.
Plusieurs études de cas sont présentées où il a été constaté que les soins chiropratiques soulageaient rapidement les signes et les symptômes sans nécessiter de physiothérapie extensive ou d’autres traitements invasifs. Selon ses études, un commentaire fréquent des parents était que leur enfant mangeait et dormait mieux après chaque ajustement chiropratique.
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